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Klaus Schulze: Le Moulin de Daudet
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» Eine frische CD, ein Soundtrack von Klaus Schulze. ... Die ersten Töne sind ungewohnt klassisch
und romantisch; Stimmen, Syn-Chöre und ein zarter Melodiebogen, durchbrochen von einigen
Paukenschlägen und flankiert von den KS-typischen Pizzicato-Sounds.
Klaus Schulze hat ja gerade in der letzten Zeit einige ellenlange Epen geliefert in seiner
großen CD-Box. Wer auf der Suche nach musikalischen Vierzeilern (also kurzen Titeln) ist, der ist
hier an der richtigen Adresse.
...hört man fast mit jeder Note seinen eigenen Stil heraus. ... Dramatische Momente gibt es
ebenso wie nachdenkliche Passagen oder dissonante Elemente. . . .
Ein guter Kontrapunkt zu den vielen neueren Klaus-Schulze-CDs. «(6/94, Chris Höppner, "Waves", Germany) |
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» Despite the many film and television scores Klaus Schulze has done over the years, few seem to
find their way onto soundtrack albums. Now joining that select group, Le Moulin de Daudet, the
new French film adapted from the writings of Alphonse Daudet. Without having seen the film, I
can only assume that the music fits its style and pacing. As strictly a music album, however, this
one leaves a bit to be desired.
... Instead of his usual grandiose epics, the tracks are mostly very short and rather meagerly
arranged. In many cases, the impression is that of electronic 'chamber music' -- listless and dry.
... A few of the tracks do manage to bring out Schulze's more interesting side. The
Beginning/The Delegates opens the album on a simple but beautiful note. Mother Sadness
features a serene, wistful interplay of strings, bells and sampled voices, and even conjures up
some nostalgia with a very Mellotron-like sampled flute intro.
Most of the other pieces, though, are pretty lifeless. ... Lackluster or not, Schulze fanatics
will likely still want to add this rarity - released only in France - to their collection. ...«(7/94, MJD, "Beyond the Horizon", USA) |
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» A l'étrange film de Samy Pavel, Schulze a répondu d'une manière non moins singulière. A
réalisation climatique musique décalée. Laisser ce compositeur illustrer un film retraçant quelques-uns des meilleurs écrits de Daudet était en soi d'un rare culot. ...
Schulze joue sur les ambiguïtés des situations. Ses titres (courts) amènent une atmosphère
"moderne" pour la moins étragère à celle qu'on serait en droit d'attendre d'une telle production.
Un contraste sonore étonnant et réussi, en harmonie avec une mise en scène elle aussi porteuse
d'une certaine angoisse. Comme si le soleil cachait quelque malaise diffus.«(9/94, "Oniric", France) |
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» Ne nous méprenons pas, il ne s'agit pas du dernier album de Schulze mais de la musique originale
du film de Samy Pavel. À priori, l'association Schulze/Daudet est des plus inattendue, jusqu'à
présent la musique de Schulze se prêtait d'avantage au monde de la Science Fiction (Dune) ou du
surrélisme (Dalí); la poésie d'Alphonse Daudet étant plus facilement associée à la musique de
Bizet. Comme je n'ai pas vu le film, j'ignore complètement le résultat sur l'écran que peut donner
le mélange de deux univers si différents. ...
Ce disque arrive à point nommé pour démontrer que les longues compositions de Schulze se
justifient pleinement, et ceux qui lui reprochent ses longueurs peuvent constater que la miniature
ôte tout son sens à la musique. Il y a comme d'habitude de belles trouvailles sonores mais on reste
sur notre faim; dommage, voici donc le premier disque énervant de Schulze, il reste à espérer que
cette succession de séquences musicale colle parfaitement au climat du film. Sur la plan
discographique c'est raté. «(9/94, D. Roux, "Crystal Infos", France) |
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» Le Moulin de Daudet de Klaus Schulze una bande sonora para la película francesa del mismo
título, supone un sorprendente cambio de timón en la carrera artistica del legendario sintesista
germano. Con desarrollos rápidos, la veintena de canciones cortas que lo forman ofrecen una
increible variedad de mensajes sonoros. Un elevado sinfonismo y melodías mágicas edifican la
estructura de un álbum que muchos no dudan en calificar como el mejor del artistica en los últimos
años. « (9/94, "RPM", Spain) |
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» ...un Klaus Schulze inattendu, une facette cachée, romantique, sensible. Vous n'aurez pas droit
aux titres fleuves de 75 minutes, avec introduction d'un quart d'heure, ni aux orchestres de 150
musiciens sur ordinateur/échantillonneur Midi.
Mis à part quelques morceaux où les séquences, les nappes et les timbres peuvent faire penser
à certaines compositions passées, dans ce disque il n'y a pas d'esbroufe, on navigue presque par
moment sur les mers minimalistes. On peut même surprende Klaus seul au piano ou au clavecin.
... Tantôt intimiste, éthérée, céleste, angélique, violente ou joyeuse, la musique porte les
images, accentuant le propos de Samy Pavel, réalisateur du film. Même le chant des cigales arrive
à s'harmoniser avec les séquences et les nappes déployées. Ce cher gailuron de Klaus allant même
jusqu'à nous exécuter une "Folk Dance" qui frôle la bourrée électronique, le tout sur des images
de fête campagnarde, étonnant non! ...
En définitive, Klaus nous prend à rebrousse poil en nous entrainant dans ses jardins secrets.
Une surprise vous dis-je. La flamme de la musique électronique n'est pas tout à fait éteinte, elle
brille encore dans l'oeil de ce néo-romantique allemand. «(9/94, P. Lamon, "Rubycon", France) |
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