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» Bilder entstehen, Assoziationen, man lehnt sich zurück, entspannt sich. Das ist die elektronische
Musik Klaus Schulzes. Würde das Ohr denken können, würde es wahrscheinlich Schulze wählen.« (res, "Salzburger Nachrichten", Austria, 20 October 1979) |
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»...Deux faces très différentes sont ici mises dos à dos pourévoquer Arrakis, la planète des sables
et de l'Epice. La première est de la veine des morceaux les plus flottants de "X", avec une absence
totale de rythmes et de mélodies, mais une structure tourbillonnante faite de nappes ascendantes
et virevoltantes, une sorte de maëlstrom de sons, ayant des mouvements d'océan, sur quoi vient
vrombir et planer un violoncelle hallucinant, pareil à ces ornithoptères qui suryolent la planète.
Cette face est absolument magnifique et vous mène à des sommets d'émotion rarement atteints,
avec ses choeurs qui enflent soudain, ses montées de strings, ses déchirurges de violon solo. ... La seconde face est très différente. ... une longue lithanie métallique, portant le récitatif halluciné d'ARTHUR BROWN, mi-chanté, mi-psalmodié. ... Bref, Klaus Atréides s'est totalement fondu dans ce monde imaginaire, il y devient un nouvel avatar de lui-même, encore plus grandiose. Dune prend une place de choix dans une généalogie déjà longue de chefs d'oeuvre.« (Hervé Picart, "Best", France, December 1979) |
