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Klaus Schulze: "X"
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»Im September kommt Klaus Schulzes nächste LP heraus. Nachdem, was wir bisher gehört haben:
würdig seine zehnte zu sein!« ("Fachblatt", Germany, July 1978) |
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»...Sur la face 3 se trouve le chef-d'oeuvre de l'album Ludwig II von Bayern, où Schulze utilise
un orchestre symphonique avec une maestria inouïe et compose un cocktail machines/orchestre des
plus sidérants. ...on accède à une Beauté absolue, intemporelle, terrassante d'inspiration,
certainement une des futures pièces d'anthologie de la musique du XXe siècle. ...
Avec "X", Schulze fait de beaucoup de musique actuelles des balbutiements vains, vides,
médiocres, il nous redonne la vraie mesure de l'authentique création. C'est pourquoi l'on peut dire
que "X" est non seulement le meilleur album de Schulze, mais encore un des événements musicaux des dix ou vingt dernières années.«(Hervé Picart, "Best", France, January 1979) |
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»TOUT le grand Klaus se retrouve ici de ce qui fait son génie, tout comme de ses faiblesses; et
de plus tout s'y manifeste avec une acuité et une emphase particulières qui font que ce disque se
côtoient le meilleur et l'inutile, des pages d'une grande beauté et des moments d'insupportable
laxisme, et ce au sein d'un même morceau, ce qui a malheureusement pour conséquence immédiate
de nouspriver d'une "grand oeuvre" à la manière de Wahnfried 1883. Car si "X" contient ce que,
peut-être, Klaus Schulze a écrit de plus beau, non seulement au niveau du lyrisme et de la ferveur,
mais surtout, ce qui est nouveau, dans sa recherche formelle pour sortie des stéréotypes du
genre, ces moments de grâce sont presque immanquablement immergés dans d'insipides nappes de
remplissage. Ainsi, par example, eût frisé la perfection ce "Ludwig von Bayern" sans une
interminable transition entre deux parties du plus génie décadent où Schulze dévoile un aspect
jusqu'alors inconnu de son talent, celui d'orchestrateur. [etc.] ... Une somme, mais pas un résumé.
Une somme, certes, mais affinée, une somme où chaque étape précédente se trouve dépassée: les
expériences orchestrales des premier albums, les collages de Blackdance, le "live electronic
rock" de Picture Music, le retour aux sources de germanité de Timewind, l'esthétique pink
floydienne des Body Love, la quête sonore de Mirage. Le problème de bilans, c'est qu'ils sont
par définition tournés vers le passé; reste à savoir ce que l'avenir va nous réserver.« ("Rock & Folk", France, March 1979) |
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»...Two hours of of his best music yet that touches on the spirit of his past works as well as going
beyond them. ... It's a work of "classic music" that all should hear.« (Archie Patterson, "Eurock", USA, 1979) |
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»... The most immediate track for me is Friedrich Nietzsche because it reminds me so much of
Moondawn, which I rate as about the best album to date (present company excepted). ...it is a
controlled barrage of synthesizers, drums and percussion, positively bursting with vibrant energy.
Heard at high volume, especially on the cans, it almost amounts to a sensory overload but it's not
mindless electronic "metal" because it's too well-crafted and far too melodic for that sort of
description.
...another, shorter track, the five-minute Georg Trakl. I don't know who the hell this guy is,
but the music would suggest some kind of a mystic, I guess. Rather quiet and reflective, and very
good.
Frank Herbert opens side two, and is eleven minutes of fairly conventional synthesized
rhythmic intensity, although "lighter" in approach than Nietzsche. It's very close to T. DREAM,
or T.DREAM as they should be. ... From here on, things slow down. Synthesized violins and strings
turn up on Friedemann Bach... Brrrrr, I won't be listening to this track all that often.
Side three and four have one track each. Ludwig II von Bayern clocks in at nearly twenty-nine minutes, and I reckon it will be the most controversial inclusion because it's very heavily
orchestrated with violin-dominated strings... It is a very serious piece of music, building up a
slowly-realised climax...
Heinrich von Kleist occupies all of side four and is just over twenty-nine minutes long. It has
similar atmospherics to Mirage, is the sparsest track on the album, again features synthesized
violins, and is very slow. Schulze uses this sparseness to good effect...
"X" is a fine album, alongside Moondawn as his best yet. There is plenty here for the Klaus
Schulze freaks among us, and room for new converts; he won't lose any of his old fans. ..."X" is an
album well worth promoting.«(Chris Furse, "Face Out", England, December 1978) |
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(Record Collector, GB, 10/2000) |
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